pauselitteraire

... avec Val

Mardi 30 décembre 2014 à 11:06





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Synopsis de l’éditeur

Jeune femme brillante, Esme obtient une bourse à l’université de Columbia à New York. Dans cette ville où tout semble éphémère, elle tombe amoureuse de Mitchell. Tout va bien, jusqu’à ce qu’elle soit enceinte : là, Mitchell annonce qu’il la quitte.

Déterminée à reprendre sa vie en main, Esme trouve un travail dans une petite librairie de quartier, tenue par George, son propriétaire excentrique et le taciturne Luke dont le rêve est de devenir guitariste. Au milieu des livres, la jeune femme trouve un réconfort bienvenu. Tout comme auprès des clients de la librairie qui deviennent des amis et des soutiens.

Et puis, un jour, Mitchell revient. Esme a-t-elle envie de lui accorder une seconde chance ? Le bonheur est-il à ce prix ?


Quelques mots sur l’auteur

Nationalité : Royaume-Uni 
Né(e) à : Manchester 

Biographie : 

Deborah Meyler est romancière et artiste peintre.

Elle a étudié à l'Université d'Oxford et est titulaire d'un master à l'Université de St Andrews.

Après avoir déménagé à New York, elle travaille pendant six ans dans une librairie, peint des tableaux, et s'occupe de ses trois enfants.

Le club de la petite librairie (« Le club de la petite librairie »

), son premier roman, a été publié en 2013.

Elle vit actuellement à Cambridge.

site de l'auteure:
http://www.deborahmeyler.com/


Mon avis

Esme, une jeune anglaise universitaire à New York, découvre qu’elle est enceinte. Ceci va bouleverser sa vie vu qu’elle ne se sent pas prête pour cela. Elle va alors après ses cours travailler dans une petite librairie nommée « La Chouette ».

J’ai lu ce livre car le titre m’a tout de suite attirée. En lisant, j’avais peur au début que ça soit une histoire trop simple, où rien de vraiment spécial ne se passe mais j’ai été positivement surprise.

On s’attache beaucoup à Esme et aux autres personnages principaux. La vie bouleversée de l’héroïne nous touche beaucoup. Quand elle travaille à la librairie, c’est très sympa pour moi qui adore les livres. En plus, c’est une belle histoire d’amitié, d’amour avec même un peu d’humour. Toutefois, même si j’ai bien aimé aussi la fin. Je l’aurais vue un peu différente.

Finalement, c’est un chouette roman ! J’ai vraiment bien aimé !

Lundi 20 octobre 2014 à 15:06

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Synopsis
 
Ce matin, quand Méréana se réveille, elle sait que la journée qui l'attend ne sera pas comme les autres. Elles sont une quinzaine à casser des blocs de pierre dans une carrière au bord d'un fleuve africain. Elles viennent d'apprendre que la construction d'un aéroport a fait considérablement augmenter le prix du gravier, et elles ont décidé ensemble que le sac qu'elles cèdent aux intermédiaires coûterait désormais plus cher, et que Méréana serait leur porte-parole dans cette négociation. L'enjeu de ce qui devient rapidement une lutte n'est pas seulement l'argent et sa faculté de transformer les rêves en projets - recommencer des études, ouvrir un commerce, prendre soin de sa famille... Malgré des vies marquées par la pauvreté, la guerre, les violences sexuelles et domestiques, l'oppression au travail et dans la famille, les "casseuses de cailloux" découvrent la force collective et retrouvent l'espoir. Cette journée ne sera pas comme les autres, c'est sûr, et les suivantes pourraient bien bouleverser leur existence à toutes, à défaut de changer le monde. Par sa description décapante des rapports de pouvoir dans une Afrique contemporaine dénuée de tout exotisme, Photo de groupe au bord du fleuve s'inscrit dans la plus belle tradition du roman social et humaniste, l'humour en plus.
 
 
Quelques mots sur l’auteur
 
De nationalité congolaise, Dongala est né le 16/07/1941.
Licencié en sciences, il enseigne la chimie au Congo jusqu’à la guerre civile, en 1997.
Il conçoit le Théâtre d l’Eclair en 1981 et préside l’Association nationale des écrivains du Congo.
Aujourd’hui, il est professeur de chimie et de littérature africaine francophone aux Etats-Unis.
Il a reçu de nombreux prix dont le prix Virilo 2010 le 2 novembre 2010 et le prix Ahmadou Kourouma en 2011 pour son roman Photo de groupe au bord du fleuve paru chez Actes Sud.

Mon avis
 
J'ai lu ce livre dans le cadre d'un club de lecture que j'organise au sein de la bibliothèque où je travaille.

Ce livre relate la vie des femmes africaines dont le métier est casseuses de pierres. On est alors immergé dans leur vie.
J’ai été fort touchée par leurs conditions de vie. Comme par exemple, le sort réservé à la femme veuve et à une autre violée.
On est vite complètement plongé dans l’histoire. On s’attache beaucoup aux personnages principaux, surtout par Méré.
J’ai aussi beaucoup aimé qu’elles osent se révolter de l’injustice au niveau du travail : d’avoir un trop petit salaire pour un travail qui est très dur physiquement.
J'ai été marquée par la façon dont l'auteur raconte l'histoire en utilisant le "tu". C'est intéressant !
En plus , c'est un livre sur les femmes écrit par un homme. Etonnant!

J'ai donc beaucoup aimé ce roman !

Dimanche 28 septembre 2014 à 17:27


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Synopsis

« Au premier regard je la trouvai si jeune que je la pris pour un garçon de quinze ans. »


Quelques mots sur l’auteur

Amélie Nothomb est un écrivain belge de langue française. Elle est né le 13 août 1967 à Kobe, au Japon, où son père, le baron Patrick Nothomb, fut ambassadeur de Belgique. Belgique, qu'elle ne connaîtra qu'à 17 ans, pour y terminer ses études de philologie romane à l'Université libre de Bruxelles.

Depuis 1992, Amélie Nothomb publie aux éditions Albin Michel un roman par an.

Stupeur et tremblements, roman de son expérience professionnelle au Japon, sera récompensé en 1999 par Le Grand Prix du roman de l'Académie française.


Mon avis

J’ai lu ce livre car j’aime cet auteur. Je lis d’ailleurs tous ses livres. J’ai même eu le plaisir de correspondre avec elle dans le passé, et même de la rencontrer dans une foire du livre. Elle est très charmante !

C’est l’histoire d’Amélie, l’auteure elle-même, qui trouve en la personne de Pétronille Fanto, une jeune fille à l’air un peu garçonnet une amie pour boire du champagne, sa passion.
C’est donc une jolie histoire d’amitié avec un peu d’humour.C’est un roman un peu biographique. D’ailleurs, Pétronille existe vraiment. Elle est devenue aussi écrivain. Son identité est masquée. On a envie de deviner sa véritable identité. Mais tout n’est pas vrai.
On retrouve, comme dans tous ses livres, de belles phrases, du riche vocabulaire, de l’humour. C’est super ! Il y a même le mot « pneu » qu’elle dit placer dans tous ses œuvres.

J’ai donc bien aimé ce livre.

Jeudi 15 mai 2014 à 11:42





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Synopsis

Le monde Soleil est un univers fantastique qu'Albert Espinosa a voulu partager. De 14 à 24 ans, il a vécu à l'hôpital, entouré de garçons et de filles de son âge, tous atteints d'un cancer. Ensemble, ces êtres Soleil, comme il les appelle, ont essayé de mener une vie normale et d'instituer une solidarité originale pour lutter contre la maladie.
Donner un sens à la vie. Croire en l'amitié et surtout croire en nos rêves pour qu'ils deviennent réalité. Etre capable d'accueillir ces êtses Soleil chaleureux et rassurants qui nous permettent de nous aimer tel que nous sommes chaque jour. Telles sont les leçons tirées de ce monde Soleil généreux et tendre.


Quelques mots sur l’auteur

Albert Espinosa Puig est un ingénieur industriel, écrivain, acteur et réalisateur du cinéma espagnol.
Atteint d’un cancer, il perd une jambe, un poumon et aussi une partie de foie. Il reste à l’hôpital pendant une grande partie de sa jeunesse en luttant contre cette maladie. 
À l’âge de 24 ans, il quitte l’hôpital et commence ses études d’ingénierie industrielle. C’est aussi à cette époque qu’il commence à écrire des scénarios et qu'il fait ses débuts dans des séries télévisées célèbres de Televisió de Catalunya.
Il est découvert comme écrivain avec le livre « 4ª Planta » (2003) où il explique son expérience à l’hôpital, en montrant une réalité pleine de vie, de jeux et d’espoir. Ce livre est adapté au cinéma.
Albert Espinosa a publié trois romans :
« El mundo amarillo » (2008), « Todo lo que podríamos haber sido tú y yo si no fuéramos tú y yo » (2010) et son plus grand succès « Si tú me dices ven lo dejo todo… pero dime ven » (2011), qui a été le livre le plus vendu lors de la traditionnelle Diada de Sant Jordi à Barcelone.


Mon avis

J’ai lu ce livre car j’avais adoré la série italienne « I braccialetti rossi » (Les bracelets rouges) tirée de ce roman. D’ailleurs, j’ai lu le livre en cette langue. Il paraît qu’aux Etats-Unis, c’est Steven Spielberg qui a acheté les droits pour en faire une série intitulée « The Red Band Society ».

Histoire : C’est la biographie de l’auteur sur son adolescence. Durant, 10 ans, Albert Espinosa a été atteint du Cancer. Il montre alors dans ce livre comment il a transformé ces mauvais moments par une grande expérience positive.

Le livre est différent de la série. La série est centrée plus sur un moment précis de ses hospitalisations. Avec des amis, il a formé un groupe « Les bracelets rouges ». Au-delà d’enfants malades, on voit une très belle histoire d’amitié, une grande preuve de courage. Avec eux, on rit, on est heureux, on est triste, on pleure. Ils se sont fait la promesse que si un d’eux meurt, il faudra prendre une partie de lui et réaliser un de ses rêves pour lui.
Contrairement, à ce que je pensais au début, ce n’est pas trop triste. L’auteur a voulu montrer d’autres facettes de comment vivre cette maladie.

Le livre est plus philosophique. C’est juste l’auteur qui raconte ce qui lui est arrivé en donnant des conseils pour le vivre mieux. C’est divisé en divers petits chapitres comme « Les pertes sont positives », « Le mot « douleur » n’existe pas », « N’aie pas peur d’être la personne que tu es devenu », etc.
Il donne un beau proverbe qui résume bien sa façon de penser : « Si tu crois aux rêves, les rêves se créeront. »

Dimanche 9 mars 2014 à 12:38



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Synopsis

À la mort de mes parents, j'ai décidé de ranger, non sans réticence, les archives familiales empilées depuis des lustres dans une armoire. Je redoutais ce travail fastidieux, tant j'étais persuadé que la vie de mon père, un petit pharmacien de quartier, était «sans histoires». Or, au fil des découvertes, papiers, lettres, documents administratifs, j'ai découvert le portrait d'un Don Quichotte original et aventureux qui, sous divers patronymes, a vécu plusieurs vies avec l'indéfectible optimisme des vrais héros. Venu de Pologne étudier à Liège, sans connaître un mot de français, Monsieur Optimiste a été rattrapé par la guerre, en plein voyage de noces à Boulogne-sur-Mer... sous les bombardements. Il s'est lié d'amitié avec un Allemand qui s'est révélé espion du IIIe Reich, il a été pisté après-guerre pour activisme communiste par la Sûreté de l'État. Mécréant mais lecteur assidu de la Bible, infatigable discoureur, sauveur de pigeons, magicien dont les potions soignent tout ce qui désespère la médecine : voilà quelques-unes des facettes de Monsieur Optimiste que révèlent les lettres, documents officiels et billets entassés pêle-mêle dans les cartons et qui m'ont permis de reconstituer le puzzle de sa vie. À travers ce récit, tantôt burlesque, tantôt poignant et nostalgique, inspiré de la vie de mon père, c'est l'histoire du XXe siècle qui se dessine en filigranes mais c'est surtout pour moi une façon de tendre la main à mes origines et de cerner ma propre identité. Comment deux immigrés de l'Est ont fabriqué un Belge «pur jus»...


Quelques mots sur l'auteur

Né à Bruxelles d’un père venu d’une petite ville près de Varsovie en Pologne et d’une mère née à Vilno lorsque la ville était russe (actuellement Vilnius), Alain Berenboom est devenu un écrivain belge de langue française !
Sa culture cosmopolite explique sans doute que son œuvre romanesque promène le lecteur tout au long de la planète, même si ses héros (pour être juste des anti-héros souvent ambitieux mais qui n’ont pas les moyens de leurs aspirations) ont bien des traits dominants de l’art belge : l’auto-dérision, une soif de panache et de folie mêlée à une modestie excessive et un amour de la vie et de la sensualité. 


Mon avis

J’ai lu ce livre pour un club de lecture. Il s’agit du Prix Rossel.

Histoire : Un homme veut connaître plus son père décédé, un immigré juif polonais. Il va alors découvrir à sa grande surprise plein de choses qu’il ne connaissait pas de lui.

Le livre, facile à lire, comporte de petits chapitres, quelques illustrations.  C’est intéressant car il aborde des sujets comme la relation père-fils, la famille, la 2ème guerre mondiale. Ce que j’ai préféré ce sont les lettres qui sont touchantes. D’ailleurs, j’aurai aimé que tout le roman apporte cette même émotion.

J’ai donc moyennement aimé ce livre.

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