pauselitteraire

... avec Val

Vendredi 19 septembre 2014 à 16:28



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Synopsis

Mack McAsh est un jeune mineur révolté par sa condition d’esclave. Il va se battre pour conquérir sa liberté. Son combat l’amènera à Londres, puis en Virginie et enfin dans la Grande Plaine


Quelques mots sur l’auteur

Ken Follett, né au pays de Galles en 1949, compte parmi les plus grands auteurs de best-sellers et de thrillers d'espionnage (L'Arme à l'œil, Les Lions du Panshir, Le Réseau Corneille, Le Troisième Jumeau...), mais c'est avec ses romans historiques Les Piliers de la terre et Un monde sans fin qu'il a connu ses plus grands succès : vingt millions d'exemplaires vendus à travers le monde. Plusieurs de ses livres ont été adaptés au cinéma. Il vit à Stevenage, en Angleterre, avec son épouse. Son dernier roman, La Chute des Géants, premier volume d'une trilogie, est paru aux Éditions Robert Laffont en 2010.


Mon avis

J’ai lu ce livre car une amie me l’a prêté. En plus, j’avais déjà lu de cet auteur « La chute des géants » que j’avais adoré !

Il s’agit d’un roman historico-romancé. L’histoire se déroule en Angleterre au 18ème siècle. Lizzie issue d’une famille de Haute Société et rebelle va tomber amoureuse de Mack, un mineur qui souhaitera défendre ses droits. C’est donc un amour impossible à cette époque.

On s’attache aux personnages principaux et on est touché dans cette société qui privilégie les riches. D’ailleurs, les plus pauvres vivent plein d’injustices. On ne reconnaît pas tous leurs droits (exemple : obligation d’être mineur avec un gros horaire de travail mais un petit salaire). L’histoire d’amour est captivante ! Et surtout imprévisible vu leurs différences sociales. Aussi, on est vite envouté par l’univers du 18ème siècle, surtout pour moi qui suis passionnée par l’Histoire.

J'ai donc beaucoup aimé ce livre ! Je le conseille donc pour toute personne s’intéressant à l’Histoire et aimant les histoires d’amour.

Samedi 13 septembre 2014 à 15:37





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Synopsis


Dans un appartement du fastueux palais de
la Hofburg, à Vienne, qu'elle occupe en qualité de dame d'honneur de l'impératrice Elisabeth, une femme relate dans son journal intime les événements qu'elle vit à la Cour d'Autriche. D'origine bavaroise, elle a passé son enfance et une
partie de sa jeunesse en France, à Ornans, pays natal du peintre Gustave Courbet qu'elle a connu. Tôt humiliée par la vie, veuve à l'âge de dix-huit ans d'un mari qui la bafouait, la comtesse Alexandra est
devenue l'amie de Sissi, la petite princesse de Bavière qui, à la suite d'un hasard extraordinaire, a épousé l'empereur François-Joseph. Le sort des deux femmes, que des affinités particulières ont rapprochées, sera désormais intimement lié. Pendant près d'un demi-siècle, Alexandra va vivre dans l'ombre de la plus belle mais aussi de la plus
mystérieuse souveraine d'Europe. Elle va connaître les amours, les intrigues, les drames de la famille des Habsbourg poursuivie depuis la nuit des temps par l'implacable malédiction de la " Dame blanche ". Des bals de Vienne rythmés par les valses de Johann Strauss aux chevauchées sauvages dans les plaines hongroises de
la Puszta, du palais de la reine Victoria aux fantasmagoriques châteaux de Louis II de Bavière, des rives du Danube à Madère, de l'Irlande à Corfou, du mariage de l'archiduc Rodolphe au drame de Mayerling, Alexandra n'abandonnera jamais Sissi, celle qu'elle révérera et aimera jusqu'à sa fin tragique sous le poignard d'un anarchiste à Genève, en bordure du lac Léman. Alliant le sens rigoureux de la documentation historique à son talent de romancier, André Besson fait revivre aussi dans ce livre des dizaines d'autres personnages à une époque où se jouait le destin de l'Europe. Dans cette fresque flamboyante, il brosse le portrait d'une femme d'une étonnante modernité, fière, indépendante, possessive, que n'asservit jamais aucun conformisme et dont la beauté est encore célèbre aujourd'hui.

 


Quelques mots sur l’auteur

Romancier, historien, biographe, André BESSON est l'auteur de nombreux ouvrages traduits en plusieurs langues. Il a récemment publié aux éditions France-Empire Une fille de la forêt, Les 30 jours de Berlin, Les grandes évasions de la Seconde Guerre mondiale, Malet, l'homme qui fit trembler Napoléon, Victor Hugo, vie d'un géant et Juste avant l'aurore

 


Mon avis


J’ai lu ce livre car je suis passionnée par l’Histoire et en particulier par Sissi, l’Impératrice d’Autriche. J’ai vu le film de Romy Schneider (très romancé), des documentaires à ce sujet (par exemple, l’émission superbe « Secret d’histoire » présentée par Stéphane Bern).

J’ai même eu le grand plaisir de faire un city trip à Vienne où j’ai été sur ses traces : j’ai visité ses 2 châteaux (Schönbrunn et Hofburg), le musée des meubles anciens et la Crypte des Capucins (qui contient les cercueils de toute la descendance des Habsbourg et donc aussi de Sissi).

Avec ce livre, on apprend beaucoup sur la véritable Sissi. On est très touchée par sa triste vie. Elle qui adorait la liberté, la nature, elle s’est trouvée dans une prison dorée. La Cour de Vienne a un règlement très strict. Elle a beaucoup d’interdictions et très peu de liberté. En plus, sa belle mère, l’archiduchesse Sophie ne l’aimait pas et lui a fait de nombreuses réprimandes. 

Toutefois, le roman est un peu romancé car certaines choses sont fausses. Par exemple, le personnage qui raconte, Alexandra von Schönburg, n’a jamais existé.

Finalement, j’ai tout de même bien aimé ce livre. Je le conseille mais j’aimerais un jour lire un autre livre où tout est vrai.

Dimanche 8 juin 2014 à 17:08





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Synopsis

Le fils d'Einstein a fini parmi les fous, délaissé de tous, jardinier de l'hôpital psychiatrique de Zurich. Sa mère, qui l'a élevé seule après son divorce, le conduit à la clinique Burghölzli à l'âge de vingt ans. La voix du fils oublié résonne dans ce roman où s'entremêlent le drame d'une mère, les faiblesses d'un génie, le journal d'un dément. 

Une question hante ce texte : Eduard a-t-il été abandonné par son père à son terrible sort ? Laurent Seksik dévoile ce drame de l'intime, sur fond de tragédie du siècle et d'épopée d'un géant.


Quelques mots sur l’auteur

Écrivain journaliste, écrivain médecin (radiologue), ancien chroniqueur littéraire et écrivain scénariste pour l’adaptation au cinéma de son roman « La folle histoire » (Prix Littré 2005 du meilleur médecin-écrivain de l'année) par Pascal Elbé, Laurent Seksik essaie toujours de se renouveler.
Il est journaliste pour l'Express Livres. Il animait "Postface", l'émission littéraire hebdomadaire de la chaîne 'information en continu I>Télé jusqu'en septembre 2006.
Depuis 2004, il était également chroniqueur littéraire pour l'émission
La Matinale, diffusée sur Canal+.
Depuis 2006, Laurent Seksik se partage entre médecine et littérature.
En 2006 paraît son troisième roman
La Consultation (J-C Lattès, Pockett), puis, en 2008, une biographie d’Albert Einstein (Gallimard Folio). 
En 2010, Laurent Seksik publie un roman relatant les 6 derniers mois de la vie de Stefan Zweig avant son suicide. "Les derniers jours de Stefan Zweig", vendu à plus de 50 000 exemplaires et traduit en sept langues. L'auteur en écrit l'adaptation théâtrale. Celle-ci sera montée au théâtre Montparnasse, en septembre 2012, mise en scène de Gérard Gélas.
Laurent Seksik publie son cinquième roman, chez Flammarion, en septembre 2011 "
La Légende des fils". 

Son premier roman, Les mauvaises pensées, (Prix Wizo 2000) a été traduit dans plusieurs langues. 


Mon avis

C’est un livre sur Eduard, le fils d’Albert Einstein, qui souffrait de schizophrénie.  C’est raconté à la fois par la mère, le père et Eduard lui-même. Les 3 points de vue s’alternent tout le long du roman.

C’est une histoire intéressante et très touchante sur la maladie mentale, la relation père-fils et mère-fils. J’ai été très troublée sur comment la maladie mentale était traitée dans les années 30 (par exemple, par électrochocs). En effet, Albert ne croyait pas en la psychanalyse de Freud.

Le livre est composé de différents chapitres avec des intitulés décrivant les divers lieux. Il y a aussi des annexes et une bibliographie.

J’ai donc vraiment bien aimé ce livre ! Ce roman m’a donné envie de lire la biographie d’Albert Einstein écrit par le même auteur Laurent Seksik.

Samedi 20 juillet 2013 à 13:27



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Synopsis

En 1911, les grandes puissances vivent leurs derniers instants d'insouciance. Bientôt la guerre va déferler sur le monde... De l'Europe aux Etats-Unis, du fond des mines du pays de Galles aux antichambres du pouvoir soviétique, en passant par les tranchées de la Somme, cinq familles vont se croiser, s'unir, se déchirer, au rythme des bouleversements de l'Histoire. Passions contrariées, rivalités et intrigues, jeux politiques et trahisons... Billy et Ethel Williams, Lady Maud Fitzherbert, Walter von Ulrich, Gus Dewar, Grigori et Lev Pechkov vont braver les obstacles et les peurs pour s'aimer, pour survivre, pour tenter de changer le cours du monde.


Quelques mots sur l’auteur

Ken Follett est né à Cardiff en 1949. Diplômé en philosophie de l'University College de Londres, il travaille comme journaliste à Cardiff puis à Londres avant de se lancer dans l'écriture. En 1978,L'Arme à l'œil devient un best-seller et reçoit l'Edgar des auteurs de romans policiers d'Amérique. Ken Follett ne s'est cependant pas cantonné à un genre ni à une époque : outre ses thrillers, il a signé des fresques historiques, tels Les Piliers de la Terre et Un monde sans fin. Ses romans sont traduits en plus de vingt langues et plusieurs d'entre eux ont été portés à l'écran. Ken Follett vit aujourd'hui à Londres.


Mon avis

J’ai lu ce livre pour le challenge lancé avec mon frère.

Il s’agit du 1er tome de la saga « Le Siècle ». C’est un roman historique romancé.

L’histoire se déroule au tout début du XXème siècle. On suit la vie de divers personnages de différentes classes sociales et de différents pays du monde. Vu que c’est romancé, on s’attache beaucoup à des personnages. On vit avec eux l’époque : Le travail dans les mines, la vie bourgeoise, les histoires d’amour, etc. mais surtout la 1ère guerre mondiale. Avec eux, on est content, triste, angoissé ou même on rit.
En plus, ce livre nous enrichit énormément de connaissances historiques.

Les seuls petits points négatifs : le volume du livre (997 p. pour le livre grand format) et les trop grands détails de certaines stratégies, politiques de guerre.

Malgré tout, j’ai vraiment bien aimé ce livre ! J’aimerai lire la suite, « L’hiver du monde » (tome centré sur la 2ème guerre mondiale) mais pas tout de suite.

Dimanche 9 décembre 2012 à 13:00



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Synopsis

Le Caire, vers le milieu des années 1960. Au café Al-Karnak que gère une ancienne danseuse, le narrateur fait connaissance avec trois étudiants, Hilmi, Ismaïl et Zaynab. Le premier est l'amant de la gérante, et les deux autres, amis d'enfance, s'aiment tendrement. Tous les trois se considèrent comme des enfants de la révolution de 1952 et défendent ardemment ses principes et ses réalisations. Mais un jour ils cessent de fréquenter le café et, à leur retour, les clients apprennent qu'ils ont été arrêtés par la police politique qui les suspectait, contre toute évidence, d'appartenir au mouvement des Frères musulmans. Déjà ébranlés dans leurs certitudes, ils sont encore arrêtés à deux reprises sous d'autres prétextes fallacieux. L'un d'eux, Hilmi, meurt en prison tandis que Zaynab et Ismaïl en sortent comme des loques humaines. Surviennent alors, en juin 1967, la guerre contre Israël et la cuisante défaite de l'armée égyptienne... Ecrit en 1971 et publié en 1974, ce roman a eu un grand retentissement, et le film qui en a été tiré, avec à l'affiche les plus grandes vedettes du cinéma égyptien, a longtemps été censuré à la télévision. Mahfouz y fait preuve de son habituel talent de conteur, faisant du petit café le microcosme d'une Egypte en train de perdre ses repères.


Quelques mots sur l’auteur

Naguib Mahfouz ( نجيب محفوظ, Naǧīb Maḥfūẓ), né le 11 décembre 1911 dans le quartier populaire de Gamaliyya à Khân al-Khalili au Caire et mort le 30 août 2006, était un écrivain égyptien contemporain de langue arabe et l'intellectuel le plus célèbre d'Égypte, lauréat du prix Nobel de littérature en 1988. La carrière littéraire de Naguib Mahfouz se confond largement avec l'histoire du roman moderne en Égypte et dans le monde arabe. Au tournant du XX e siècle, le roman arabe fait ses premiers pas dans une société et une culture qui découvrent ce genre littéraire à travers la traduction des romans européens du XIX e siècle. Dans les années 1920, l'écrivain et homme politique Muhammad Husayn Haykal prône l'émergence d'une littérature nationale coulée dans les moules occidentaux, afin que les Égyptiens y voient le signe qu'ils sont aussi avancés que l'Occident, et peut-être le devancent, dans les domaines de la civilisation. Nul ne portera mieux que Naguib Mahfouz ce projet à son terme.


Mon avis

J’ai lu ce livre pour un club de lecture que j’ai organisé avec des collègues à la bibliothèque où je travaille. C’est une d’elle qui a fait ce choix.

Histoire : un homme s’attache au Karnak café où il fait des amitiés. Mais, soudain, de jeunes étudiants disparaissent mystérieusement plusieurs fois.
C’est donc un livre avec du mystère. En plus, il dévoile la méchanceté des politiques de certains pays. C’est donc une histoire marquante, touchante. En plus, c’est facile à lire.

J’ai donc bien aimé ce livre.

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