Synopsis de l'éditeur
Un jour, aux courses, l'archiduc Rodolphe remarque une jeune fille, dont la grâce sérieuse le frappe plus encore que sa beauté. Il demande son nom : c'est la baronne Marie Vetsera. Leurs regards se sont croisés et Marie s'est rendu compte de l'attention qu'on lui porte, mais n'en tire pas vanité. Que peut-il exister de commun entre le fils unique de l'empereur François-Joseph, héritier du trône d'Autriche-Hongrie et elle-même qui, tout en appartenant à la haute société de Vienne, ne possède cependant pas assez de quartiers de noblesse pour être reçue au palais de la Hofburg ? En dépit de ces réflexions raisonnables, Marie s'éprend du prince impérial. Elle a 16 ans, l'âge de ces enfantillages, et sa passion soigneusement tenue secrète resterait peut-être un simple amour de tête si la comtesse Larisch, amie de sa mère et cousine de Rodolphe, n'entrait en scène et ne faisait disparaître tous les obstacles. Le rêve commencé en avril 1888 prend corps, mais c'est pour s'achever en tragédie le 29 janvier 1889 par les coups de feu tirés au pavillon de chasse de Mayerling. S'appuyant sur les archives officielles, Claude Anet a reconstitué la brève idylle de Marie Vetsera avec un talent qui donne l'éclat du roman à ce qui est une page de l'histoire de la Maison d'Autriche.
Quelques mots sur l'auteur
Pseudonyme de Jean Schopfer. Romancier et auteur dramatique. Correspondant du "Gil Blas" et du "Petit Parisien" pendant la Révolution russe.
Mon avis
J'ai lu ce livre car j'ai adoré la saga "Sissi" avec Romy Schneider. En plus, je m'intéresse aussi beaucoup à l'Histoire de l'Impératrice.
C'est un roman sur le prince Rodolphe, le fils de l'Impératrice Sissi d'Autriche et de l'Empereur François Joseph.
Le livre est composé de petits chapitres intitulés.
Il ressemble beaucoup à sa mère. Comme elle, il n'aime pas ce pouvoir, les règles strictes de Vienne. Fiancé à une princesse belge peu charmante, il tombe amoureux de Mme Vetsera, une comtesse.
J'ai été très touchée par sa sensibilité, sa tristesse. J'ai beaucoup aimé l'histoire d'amour.
J'ai donc beaucoup aimé ce roman !!
Synopsis
Qui n'a jamais rêvé de s'immerger dans l'intimité de Marie-Antoinette, archiduchesse d'Autriche, dernière reine de France et de Navarre, femme célèbre et controversée devenue un véritable mythe ? Sous la forme d'une belle édition à la fabrication soignée, nous vous proposons de découvrir son journal intime. Porté par Benjamin Lacombe, accompagné par le regard de Cecile Berly, historienne, spécialiste de Marie-Antoinette, ce carnet d'une richesse graphique inouïe (peintures, aquarelles, crayonnes) mêlera certaines des lettres authentiques de Marie-Antoinette, à celles, fictives, du Comte Fersen avec lequel elle entretenait une relation privilégiée. Un livre exceptionnel pour les amateurs d'Histoire et de beaux ouvrages illustrés.
Quelques mots sur l’auteur
Benjamin Lacombe est auteur-illustrateur. Il vit et travaille à Paris.
En 2001, il entre à l'École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris (ENSAD), où il suit une formation artistique.
Parallèlement il travaille dans la publicité et dans l'animation et signe à 19 ans sa première bande dessinée et quelques autres livres illustrés… Son projet de fin d'études, "Cerise Griotte", dont il est l'auteur et l'illustrateur, devient son premier livre jeunesse et sort aux éditions du Seuil jeunesse en mars 2006.
Il est publié l'année suivante par Walker Books (USA) et est nommé par le prestigieux hebdomadaire Time Magazine comme l'un des 10 meilleurs livres jeunesse de l'année 2007 aux États–Unis.
Depuis, Benjamin Lacombe a écrit et illustré de nombreux ouvrages. Il a notamment travaillé avec Albin Michel, Sarbacane, Soleil, Barefoot Books (USA), Edelvivives (Espagne), Hemingway Korea (Corée), Milan, MaxMilo, Walker Books (USA) et bien sûr le Seuil Jeunesse, éditeur avec lequel il a publié la plupart de ses livres.
Benjamin expose régulièrement son travail. Il a entre autre été exposé dans les galeries: Ad Hoc Art (New York), L'Art de rien (Paris), Dorothy Circus (Rome), Maruzen (Tokyo), et d'autres encore.
Mon avis
C’est un album très illustré sur forme de lettres. On trouve des lettres de Marie-Antoinette, de sa mère Marie-Thérèse, et d’autres documents.
C’est un mélange de faits réels et fictifs sur la reine. A la fin, on trouve les repères chronologiques au niveau historique et au niveau de sa vie. Le livre est magnifique à voir ! Quand on lit, on a vraiment l’impression de lire de vraies lettres du 18ème siècle. Impressionnant !
J’ai donc beaucoup aimé cet ouvrage ! C’est à voir et à revoir !
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Jeune femme brillante, Esme obtient une bourse à l’université de Columbia à New York. Dans cette ville où tout semble éphémère, elle tombe amoureuse de Mitchell. Tout va bien, jusqu’à ce qu’elle soit enceinte : là, Mitchell annonce qu’il la quitte.
Déterminée à reprendre sa vie en main, Esme trouve un travail dans une petite librairie de quartier, tenue par George, son propriétaire excentrique et le taciturne Luke dont le rêve est de devenir guitariste. Au milieu des livres, la jeune femme trouve un réconfort bienvenu. Tout comme auprès des clients de la librairie qui deviennent des amis et des soutiens.
Et puis, un jour, Mitchell revient. Esme a-t-elle envie de lui accorder une seconde chance ? Le bonheur est-il à ce prix ?
Quelques mots sur l’auteur
Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Manchester
Biographie :
Deborah Meyler est romancière et artiste peintre.
Elle a étudié à l'Université d'Oxford et est titulaire d'un master à l'Université de St Andrews.
Après avoir déménagé à New York, elle travaille pendant six ans dans une librairie, peint des tableaux, et s'occupe de ses trois enfants.
Le club de la petite librairie (« Le club de la petite librairie »
), son premier roman, a été publié en 2013.
Elle vit actuellement à Cambridge.
site de l'auteure:
http://www.deborahmeyler.com/
Mon avis
Esme, une jeune anglaise universitaire à New York, découvre qu’elle est enceinte. Ceci va bouleverser sa vie vu qu’elle ne se sent pas prête pour cela. Elle va alors après ses cours travailler dans une petite librairie nommée « La Chouette ».
J’ai lu ce livre car le titre m’a tout de suite attirée. En lisant, j’avais peur au début que ça soit une histoire trop simple, où rien de vraiment spécial ne se passe mais j’ai été positivement surprise.
On s’attache beaucoup à Esme et aux autres personnages principaux. La vie bouleversée de l’héroïne nous touche beaucoup. Quand elle travaille à la librairie, c’est très sympa pour moi qui adore les livres. En plus, c’est une belle histoire d’amitié, d’amour avec même un peu d’humour. Toutefois, même si j’ai bien aimé aussi la fin. Je l’aurais vue un peu différente.
Finalement, c’est un chouette roman ! J’ai vraiment bien aimé !
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Synopsis
Depuis son plus jeune âge, Daniel Cunningham a vécu enfermé, avec pour seule compagnie les livres et sa mère - qui l'a gardé reclus, à l'écart du monde extérieur, et qui n'a cessé de lui répéter qu'il était malade. Un jour, des coups frappés à la porte vont tout changer. Des voisins ont découvert son existence, et résolu de libérer Daniel de l'emprise de sa mère. Pris en charge par le Dr Marlow et sa famille, il va découvrir peu à peu que tout ce qu'il tenait pour vrai jusque-là n'était qu'un tissu d'histoires racontées pour le protéger.
Mais le protéger de quoi ? De sa vie d'avant, Daniel n'a gardé qu'une maison de poupée. Et pas n'importe quelle maison de poupée : c'est la réplique exacte de la maison natale de sa mère, une maison qui recèle de nombreux et sombres secrets. Jusqu'à quels vertiges ces secrets conduiront-ils Daniel ?
Quelques mots sur l’auteur
Anne Fine est née à Leicester en 1947. Après ses études dans des écoles de filles, elle est devenue professeur, mais ne l'est pas restée très longtemps.
Ses romans, caractérisés par une insolence et un humour dévastateurs, ont été acclamés par la critique. Elle a obtenu le Guardian Children's Fiction Award et la Carnegie Medal pour "L'Amoureux de ma mère".
"Madame Doubtfire" (paru une première fois sous le titre "Quand Papa était femme de ménage") a été porté à l'écran en 1993 et a connu un immense succès.
Anne Fine écrit pour la jeunesse, mais également pour les adultes. "Un bonheur mortel" (Editions de l'Olivier) a reçu en 1990 le Scottish Arts Council Book Award.
Elle a été désignée en 2001 comme Children's Laureate au Royaume-Uni, devenant ainsi ambassadrice de la littérature de jeunesse pendant deux ans.
Mon avis
Daniel vit seul avec sa mère. Un jour, on l’enlève à sa mère et se trouve dans une famille d’accueil. Depuis lors, il va découvrir pleines choses surprenantes sur sa mère et sa famille.
C’est un roman genre fantastique. Une histoire autour d’un maléfice démoniaque. Dès le début on s’attache à Daniel. On est touché par ce qu’il vit : sa séparation avec sa mère. On trouve aussi du suspens. Il y a beaucoup de mystères autour de sa mère. Pourquoi l’a-t-elle enfermé dans la maison depuis toujours en prétextant pour maladie? Pourquoi n’a-t-elle jamais parlé de sa famille, en particulier de son oncle Severn ?, … On est donc captivé par l’histoire. L’auteur nous tient en haleine. On a très envie de connaître toute la vérité.
J'ai donc bien aimé ce livre ! Toutefois, j’aurais aimé que ça soit plus effrayant.
« Au premier regard je la trouvai si jeune que je la pris pour un garçon de quinze ans. »
Quelques mots sur l’auteur
Amélie Nothomb est un écrivain belge de langue française. Elle est né le 13 août 1967 à Kobe, au Japon, où son père, le baron Patrick Nothomb, fut ambassadeur de Belgique. Belgique, qu'elle ne connaîtra qu'à 17 ans, pour y terminer ses études de philologie romane à l'Université libre de Bruxelles.
Depuis 1992, Amélie Nothomb publie aux éditions Albin Michel un roman par an.
Stupeur et tremblements, roman de son expérience professionnelle au Japon, sera récompensé en 1999 par Le Grand Prix du roman de l'Académie française.
Mon avis
J’ai lu ce livre car j’aime cet auteur. Je lis d’ailleurs tous ses livres. J’ai même eu le plaisir de correspondre avec elle dans le passé, et même de la rencontrer dans une foire du livre. Elle est très charmante !
C’est l’histoire d’Amélie, l’auteure elle-même, qui trouve en la personne de Pétronille Fanto, une jeune fille à l’air un peu garçonnet une amie pour boire du champagne, sa passion.
C’est donc une jolie histoire d’amitié avec un peu d’humour.C’est un roman un peu biographique. D’ailleurs, Pétronille existe vraiment. Elle est devenue aussi écrivain. Son identité est masquée. On a envie de deviner sa véritable identité. Mais tout n’est pas vrai.
On retrouve, comme dans tous ses livres, de belles phrases, du riche vocabulaire, de l’humour. C’est super ! Il y a même le mot « pneu » qu’elle dit placer dans tous ses œuvres.
J’ai donc bien aimé ce livre.
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Synopsis
Mack McAsh est un jeune mineur révolté par sa condition d’esclave. Il va se battre pour conquérir sa liberté. Son combat l’amènera à Londres, puis en Virginie et enfin dans la Grande Plaine
Quelques mots sur l’auteur
Ken Follett, né au pays de Galles en 1949, compte parmi les plus grands auteurs de best-sellers et de thrillers d'espionnage (L'Arme à l'œil, Les Lions du Panshir, Le Réseau Corneille, Le Troisième Jumeau...), mais c'est avec ses romans historiques Les Piliers de la terre et Un monde sans fin qu'il a connu ses plus grands succès : vingt millions d'exemplaires vendus à travers le monde. Plusieurs de ses livres ont été adaptés au cinéma. Il vit à Stevenage, en Angleterre, avec son épouse. Son dernier roman, La Chute des Géants, premier volume d'une trilogie, est paru aux Éditions Robert Laffont en 2010.
Mon avis
J’ai lu ce livre car une amie me l’a prêté. En plus, j’avais déjà lu de cet auteur « La chute des géants » que j’avais adoré !
Il s’agit d’un roman historico-romancé. L’histoire se déroule en Angleterre au 18ème siècle. Lizzie issue d’une famille de Haute Société et rebelle va tomber amoureuse de Mack, un mineur qui souhaitera défendre ses droits. C’est donc un amour impossible à cette époque.
On s’attache aux personnages principaux et on est touché dans cette société qui privilégie les riches. D’ailleurs, les plus pauvres vivent plein d’injustices. On ne reconnaît pas tous leurs droits (exemple : obligation d’être mineur avec un gros horaire de travail mais un petit salaire). L’histoire d’amour est captivante ! Et surtout imprévisible vu leurs différences sociales. Aussi, on est vite envouté par l’univers du 18ème siècle, surtout pour moi qui suis passionnée par l’Histoire.
J'ai donc beaucoup aimé ce livre ! Je le conseille donc pour toute personne s’intéressant à l’Histoire et aimant les histoires d’amour.
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