pauselitteraire

... avec Val

Dimanche 3 novembre 2013 à 12:35




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Synopsis

C'est un vieil homme debout à l'arrière d'un bateau. Il serre dans ses bras une valise légère et un nouveau-né, plus léger encore que la valise. Le vieil homme se nomme Monsieur Linh. Il est seul désormais à savoir qu'il s'appelle ainsi. Debout à la poupe du bateau, il voit s'éloigner son pays, celui de ses ancêtres et de ses morts, tandis que dans ses bras l'enfant dort. Le pays s'éloigne, devient infiniment petit, et Monsieur Linh le regarde disparaître à l'horizon, pendant des heures, malgré le vent qui souffle et le chahute comme une marionnette.


Quelques mots sur l’auteur

Ecrivain et réalisateur français, Philippe Claudel a signé de nombreux livres à succès (Le Rapport Brodeck, les Ames grises, etc.) et un film récompensé (Il y a longtemps que je t'aime). Agrégé de français, il enseigne par ailleurs à l'université de Nancy, en tant que maître de conférences. Philippe Claudel est reconnu comme l'un des meilleurs auteurs contemporains.


Mon avis

C’est la 1ère fois que je lis un livre de cet auteur. Je l’ai lu car une personne en a parlé dans un club de lecture.

Histoire : On suit M. Linh, un vieil homme qui est arrivé au pays via un bâteau de réfugiés. Il garde toujours sur lui précieusement une photo et un petit enfant.

Claudel aborde des thèmes tels que l’immigration, l’abandon, la mémoire, la solitude, l’amitié, le regard des autres. C’est une histoire simple, très touchante et poétique.

J’ai donc bien aimé ce petit roman !

Samedi 28 septembre 2013 à 17:23




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Synopsis

Paris, années 60. Momo, un garçon juif de 11 ans, devient l’ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue, pour échapper à une famille sans amour. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim n’est pas arabe, la rue Bleue n’est pas bleue, et la vie ordinaire peut-être pas si ordinaire…


Quelques mots sur l’auteur

Après des études musicales au Conservatoire de Lyon, Eric-Emmanuel Schmitt a suivi un cursus l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm de 1980 à 1985.
Agrégé de philosophie en 1983, il soutient en 1986 sa thèse de doctorat intitulée Diderot et la Métaphysique (Diderot ou la philosophie de la séduction, Albin Michel, 1997).

Mon avis

J’ai choisi de lire ce livre car j’ai déjà lu quelques livres de cet auteur que j’ai bien aimés.

Histoire : Moïse, « Momo » vit seul avec son père assez dur car sa mère l’a abandonné.  Il va devenir ami avec l’épicier, Mr Ibrahim grâce à qui il va comprendre beaucoup de choses sur la vie, le bonheur et la religion (juive et musulmane).

C’est une belle histoire d’amitié. Sa vie familiale est touchante !
On s’attache beaucoup aux personnages. En plus, ce livre pousse à la réflexion.
Donc j’ai bien aimé ce livre !

Il paraît qu’un film tiré de ce livre existe. J’aimerais bien le voir un jour !
Aussi, j’ai appris à la fin du livre qu’il est le 2ème tome de la trilogie « L’invisible » : le 1er tome étant « Milarepa » (sur le bouddhisme) et le 3ème « Dernière nuit sur la terre » (sur le christianisme). Ceci n’est pas perturbant. On n’est pas obligé de les lire dans l’ordre, je pense.

Dimanche 22 septembre 2013 à 18:35


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Synopsis

"Tout ce que l'on aime devient une fiction"


Quelques mots sur l’auteur

Amélie Nothomb est un écrivain belge de langue française. Elle est né le 13 août 1967 à Kobe, au Japon, où son père, le baron Patrick Nothomb, fut ambassadeur de Belgique. Belgique, qu'elle ne connaîtra qu'à 17 ans, pour y terminer ses études de philologie romane à l'Université libre de Bruxelles. Depuis 1992, Amélie Nothomb publie aux éditions Albin Michel un roman par an. Stupeur et tremblements, roman de son expérience professionnelle au Japon, sera récompensé en 1999 par Le Grand Prix du roman de l'Académie française.


Mon avis

J’ai choisi ce livre car j’adore Nothomb et que je lis tous ses romans.

Il s'agit d'une autobiographie. Amélie Nothomb revient sur un reportage d’elle au Japon. Elle nous partage donc dans ce livre ses ressentis, ses pensées sur ce reportage, le retour à son pays d’enfance (dont Fukushima est dévasté par la catastrophe), ses retrouvailles avec sa maman japonaise et Rinri, son amoureux (dans son roman « Ni d’Eve ni d’Adam »).

Pour moi qui ai vu ce reportage, c’est encore plus frappant. On ressent avec elle toutes sortes d’émotions. On s’émeut, on rit, … Elle parle aussi de son rapport avec la caméra, le fait d’être filmé en permanence. On comprend sa gêne.
En plus, la couverture est sublime!

J’ai donc vraiment bien aimé ce livre !

Samedi 14 septembre 2013 à 17:31



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Synopsis

Entre son ex-femme dont il est toujours amoureux, ses enfants qui lui manquent, son frère qui le somme de partir s'occuper de ses parents "pour une fois", son
père ouvrier qui s'apprête à voter FN et le tsunami qui ravage un Japon où il a vécu les meilleurs moments de sa vie, tout semble pousser Paul Steiner aux lisières de sa propre existence. De retour dans la banlieue de son enfance, il va se confronter au monde qui l'a fondé et qu'il a fui.
En quelques semaines et autant de rencontres, c'est à un véritable état des lieux personnel, social et culturel qu'il se livre, porté par l'espoir de trouver, enfin, sa place.


Quelques mots sur l’auteur

Olivier Adam a suivi des études de gestion des entreprises culturelles. Il a publié plusieurs romans pour adultes au Dilettante et aux éditions de l'Olivier. Il est l'auteur de nombreux romans dont « Passer l'hiver » (Goncourt de la nouvelle 2004), « À l'abri de rien » (prix France Télévisons 2007 et prix Jean-Amila-Meckert 2008), « Des vents contraires » (grand prix RTL-Lire 2009).
Plusieurs de ses livres ont été adaptés au cinéma, dont son premier roman, « Je vais bien ne t'en fais pas » (Le Dilettante, 2000) qui sera primé aux Césars en 2007, « Poids léger » et « Je vais bien ». Il est également scénariste et auteur de romans pour la jeunesse (publiés à l'École des Loisirs). Il a participé à la création du festival littéraire des correspondances de Manosque et est directeur de collection aux éditions du Rouergue depuis 2003. Il vit à Saint-Malo.


Mon avis

J’ai lu ce livre pour le challenge lancé avec mon frère.

Histoire : Paul Steiner, la quarantaine, vit un très triste moment de sa vie : il vient de se séparer de Sarah avec qui il a eu 2 enfants (Manon et Clément) ; et dont il est toujours très amoureux. En plus, il doit s’occuper de ses parents rencontrant des difficultés, des souffrances face à la vieillesse.
Il va alors réfléchir à sa vie entière et découvrir des secrets de famille.

Tout au long du livre, on ressent la grosse déprime de Paul. On vit avec lui ses relations amicales, amoureuses et familiales avec leurs problèmes et leur bonheur.
Malheureusement, je n’ai pas su m’attacher au personnage, à m’accrocher à l’histoire. J’ai vraiment trouvé cette histoire ennuyeuse, déprimante.
Je n’ai donc pas aimé ce livre.

Samedi 23 février 2013 à 16:58



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Synopsis

Deux frères se donnent rendez-vous avec leurs épouses dans un restaurant branché d'Amsterdam. Hors-d'œuvre : le maître d'hôtel s'affaire. Plat principal : on parle de tout, des films à l'affiche, des vacances en Dordogne. Dessert : on évite soigneusement le véritable enjeu du dîner, les enfants. Car leurs fils respectifs ont commis un acte d'une violence inouïe. Un café, un digestif, l'addition. Reste la question : jusqu'où irions-nous pour préserver nos enfants ?


Quelques mots sur l’auteur

Scénariste, homme de télévision et de radio, Herman Koch est aussi l'auteur de plusieurs romans, dont Le Dîner, publié en 2009 aux Pays-Bas. 


Mon avis

J’ai lu ce livre pour un café littéraire que j’organise à la bibliothèque où je travaille.

Histoire : Paul va dîner dans un luxueux restaurant avec son frère Serge, sa belle sœur Babette et sa femme Claire. Lors de ce dîner, on parle de tout mais à un moment donné arrive la vraie raison de ce dîner : parler de leurs enfants, de ce qu’ils ont fait.

Le livre est divisé en chapitre tels que « Entrée », « Dessert », …
Dès le début, on voit qu’il s’est passé quelque chose de grave mais ça reste mystérieux. Donc on a envie de toujours continuer à lire pour savoir ce qui s’est passé. C’est une histoire assez noire, voire même choquante. Je ne me suis pas attachée aux personnages. Toutefois, ce livre pousse à réfléchir sur des faits de société, à certaines questions : Peut-on vraiment toujours défendre ses enfants ? Jusqu’à quel point peut-on le faire ?

Donc, j’ai moyennement aimé ce livre.

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