pauselitteraire

... avec Val

Jeudi 22 mai 2014 à 16:02




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Synopsis


Harry Bonnet, 16 ans, fils d'un cuistot montmartrois, est fou de cinéma.
Comment s'est-il retrouvé à Hollywood ? C'est simple. Il lui aura suffi d'une gifle, d'une caille rôtie et d'une assiette de pommes de terre pour traverser l'Atlantique et atterrir sur la colline mythique.
L'Amérique ! Des stars à tous les coins de rue !
Une nuit, il suit son père à la cantine, s'introduit en catimini sur le plateau n° 17, remplace au pied levé un second rôle souffrant et... tombe nez à nez avec Alfred Hitchcock.
Le metteur en scène le plus célèbre du monde commence le tournage dont il rêve depuis quarante ans : l'adaptation d'une pièce de J. M. Barrie, l'auteur de Peter Pan.
C'est un secret absolu. Le film porte un faux titre et Hitchcock lui-même a pris un nom de code.
Mais pourquoi diable Harry a-t-il voulu voir les premières minutes du film fantôme ?
Pourquoi a-t-il désobéi au maître du suspense ?



Quelques mots sur l’auteur

Malika Ferdjoukh est une écrivain français d'origine algérienne.
Elle a fait ses études au lycée Rocroy-Saint-Léon, elle a suivit des cours à
la Sorbonne. Elle vit à Paris et a travaillé dans un hôpital pour enfants avant de se lancer dans l'écriture.
Elle est passionnée de cinéma américain et adore par dessus tout les comédies-musicales.
Elle écrit des romanes jeunesses qui sont traduits en une dizaine de langues, ainsi que des scénarios pour la télévision.


Mon avis

Histoire : Harry est le fils d’un cuisinier passionné de cinéma. Un jour, ils iront à Hollywood et rencontreront plein de stars dont Alfred Hitchcock qui prépare secrètement un film nommé « Mary Rose ».

On est entièrement immergé dans les années 60, dans le monde du cinéma à Hollywood. Aussi, on en apprend beaucoup sur Alfred Hitchcock, le très grand metteur en scène de films cultes (comme « Psychose »). C’est très passionnant !
Les personnages principaux sont très attachants. Il y a même de l’humour. En plus, c’est rempli de suspens autour du film secret !
Le livre est divisé en petits chapitres avec titres. On y trouve plein de références à Hitchcock. C’est facile à lire.

J’ai donc vraiment bien aimé !

 

Jeudi 15 mai 2014 à 11:42





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Synopsis

Le monde Soleil est un univers fantastique qu'Albert Espinosa a voulu partager. De 14 à 24 ans, il a vécu à l'hôpital, entouré de garçons et de filles de son âge, tous atteints d'un cancer. Ensemble, ces êtres Soleil, comme il les appelle, ont essayé de mener une vie normale et d'instituer une solidarité originale pour lutter contre la maladie.
Donner un sens à la vie. Croire en l'amitié et surtout croire en nos rêves pour qu'ils deviennent réalité. Etre capable d'accueillir ces êtses Soleil chaleureux et rassurants qui nous permettent de nous aimer tel que nous sommes chaque jour. Telles sont les leçons tirées de ce monde Soleil généreux et tendre.


Quelques mots sur l’auteur

Albert Espinosa Puig est un ingénieur industriel, écrivain, acteur et réalisateur du cinéma espagnol.
Atteint d’un cancer, il perd une jambe, un poumon et aussi une partie de foie. Il reste à l’hôpital pendant une grande partie de sa jeunesse en luttant contre cette maladie. 
À l’âge de 24 ans, il quitte l’hôpital et commence ses études d’ingénierie industrielle. C’est aussi à cette époque qu’il commence à écrire des scénarios et qu'il fait ses débuts dans des séries télévisées célèbres de Televisió de Catalunya.
Il est découvert comme écrivain avec le livre « 4ª Planta » (2003) où il explique son expérience à l’hôpital, en montrant une réalité pleine de vie, de jeux et d’espoir. Ce livre est adapté au cinéma.
Albert Espinosa a publié trois romans :
« El mundo amarillo » (2008), « Todo lo que podríamos haber sido tú y yo si no fuéramos tú y yo » (2010) et son plus grand succès « Si tú me dices ven lo dejo todo… pero dime ven » (2011), qui a été le livre le plus vendu lors de la traditionnelle Diada de Sant Jordi à Barcelone.


Mon avis

J’ai lu ce livre car j’avais adoré la série italienne « I braccialetti rossi » (Les bracelets rouges) tirée de ce roman. D’ailleurs, j’ai lu le livre en cette langue. Il paraît qu’aux Etats-Unis, c’est Steven Spielberg qui a acheté les droits pour en faire une série intitulée « The Red Band Society ».

Histoire : C’est la biographie de l’auteur sur son adolescence. Durant, 10 ans, Albert Espinosa a été atteint du Cancer. Il montre alors dans ce livre comment il a transformé ces mauvais moments par une grande expérience positive.

Le livre est différent de la série. La série est centrée plus sur un moment précis de ses hospitalisations. Avec des amis, il a formé un groupe « Les bracelets rouges ». Au-delà d’enfants malades, on voit une très belle histoire d’amitié, une grande preuve de courage. Avec eux, on rit, on est heureux, on est triste, on pleure. Ils se sont fait la promesse que si un d’eux meurt, il faudra prendre une partie de lui et réaliser un de ses rêves pour lui.
Contrairement, à ce que je pensais au début, ce n’est pas trop triste. L’auteur a voulu montrer d’autres facettes de comment vivre cette maladie.

Le livre est plus philosophique. C’est juste l’auteur qui raconte ce qui lui est arrivé en donnant des conseils pour le vivre mieux. C’est divisé en divers petits chapitres comme « Les pertes sont positives », « Le mot « douleur » n’existe pas », « N’aie pas peur d’être la personne que tu es devenu », etc.
Il donne un beau proverbe qui résume bien sa façon de penser : « Si tu crois aux rêves, les rêves se créeront. »

Dimanche 27 avril 2014 à 18:04





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Synopsis

Avec Docteur Sleep, Stephen King revient sur les personnages et le territoire de l'un de ses romans précédents, "Shining, l'enfant lumière". 
Doctor Sleep présente Dan Torrance (l'enfant de Shining), désormais adulte, et Abra Stone, petite fille de 12 ans qu'il doit protéger les « True Knot ». Guidés par Rose the Hat, ces voyageurs quasi-immortels traversent le pays pour se nourrir de l'énergie psychique (qu'ils nomment "vapeur") des enfants possédant le don du "Shining".
Dan tente depuis des années de fuir l'héritage de son père Jack et s'est installé dans le New Hampshire, travaillant dans une maison de retraite où ses dons apportent du réconfort aux mourants. C'est ainsi qu'il devient "Doctor Sleep".
Mais après sa rencontre avec Abra Stone, une guerre épique entre le bien et le mal débute.


Quelques mots sur l’auteur

Né le 21 septembre 1947 dans le Maine, décor de quasiment tous ses écrits, Stephen Edwin King et son frère adoptif sont élevés par leur mère, leur père ayant mystérieusement disparu un soir en partant chercher des cigarettes.

Commençant sa carrière d'écrivain dès l'âge de 12 ans en publiant un journal avec son frère, Stephen King deviendra quelques années plus tard, après avoir utilisé le pseudonyme de Richard Bachman, le "maître de l'horreur", auteur d'innombrables romans d'épouvante ou de terreur dont la plupart ont été portés à l'écran, au cinéma ou à la télévision... voire les deux !


Mon avis

J’ai lu ce livre car c’est la suite de « Shining » que j’avais beaucoup aimé.

Dans ce roman, on suit la vie du fils de Jack Torrance, Dan qui a des dons. Il travaille dans une maison de repos où il accompagne les mourants dans leur fin de vie. C’est pour cette raison qu’on l’a surnommé « Docteur Sleep ». Un jour, il va rencontrer Abra, une adolescente qui a aussi des dons. Ensemble, ils devront combattre contre des genres de vampires appelés « Le Nœud Vrai ».

Il y a du suspens et de l’action. Mais aussi de l’émotion, on voit toutes les conséquences de la folie de Jack sur son fils et comment Dan vit avec son don ce qui n’est pas toujours facile.

On s’attache donc à lui et même à Abra.

Il ne faut pas s’attendre à une histoire vraiment comme Shining. Ici l’écriture de Stephen King a évolué, est différente que j’ai tout de même bien aimé.

Samedi 19 avril 2014 à 19:43







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Synopsis

Trois enfants se rencontrent à bord du plus grand et du plus beau paquebot du monde. Ils sont émerveillés. Le matin du 15 avril 1912, à 2h20, le Titanic sombre dans les eaux glacées de l'Atlantique Nord, plus de deux heures après avoir heurté un iceberg. Le premier SOS de l'Histoire est lancé dans la nuit noire et terrifiante.


Quelques mots sur l’auteur

Bernard Marck est journaliste et historien, spécialiste de l'aviation. 
Bernard Marck a fait découvrir à un large public quelques grandes figures de l'aviation : Il était une foi : Mermoz (Picollec, 1986), Le dernier Vol de Guynemer (Acropole, 1991), Amelia (Arthaud, 2010). Les éditions de l'Archipel ont publié Les aviatrices (1993), son édition de la correspondance de Mermoz (Défricheur du ciel, 2001) ainsi que ses biographies d'Hélène Boucher (2003) et de Charles Lindbergh (2009). Sept années d'enquête ont précédé la rédaction de son Histoire de l'aviation, aujourd'hui actualisée. 
Il a été notamment le rédacteur en chef d'Aéroports Magazine, un mensuel professionnel spécialisé dans le transport aérien mondial. Il a également collaboré au quotidien Le Monde, au Monde de l'aviation ainsi qu'à la revue britannique Flight International. 


Mon avis

Histoire : 3 enfants embarquent sur le Titanic, un immense paquebot dit « l’insubmersible » le 12 avril 1912. Avec eux, on revit le voyage, le paquebot et la catastrophe.

C’est un livre très riche au niveau émotion et documentaire. On y apprend beaucoup de choses. Et en même temps, c’est assez facile, agréable à lire. Aussi, l’auteur y laisse un message : « Ne jamais se reposer sur ses lauriers et demeurer vigilant, sous peine de voir les négligences s’enchaîner et conduire à la catastrophe ».
Le roman est composé de divers chapitres intitulés.

A la fin, on trouve même des annexes, une note de l’auteur, une bibliographie consultée et recommandée qui sont très intéressants !

J’ai donc beaucoup aimé ce livre !


Dimanche 9 mars 2014 à 12:38



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Synopsis

À la mort de mes parents, j'ai décidé de ranger, non sans réticence, les archives familiales empilées depuis des lustres dans une armoire. Je redoutais ce travail fastidieux, tant j'étais persuadé que la vie de mon père, un petit pharmacien de quartier, était «sans histoires». Or, au fil des découvertes, papiers, lettres, documents administratifs, j'ai découvert le portrait d'un Don Quichotte original et aventureux qui, sous divers patronymes, a vécu plusieurs vies avec l'indéfectible optimisme des vrais héros. Venu de Pologne étudier à Liège, sans connaître un mot de français, Monsieur Optimiste a été rattrapé par la guerre, en plein voyage de noces à Boulogne-sur-Mer... sous les bombardements. Il s'est lié d'amitié avec un Allemand qui s'est révélé espion du IIIe Reich, il a été pisté après-guerre pour activisme communiste par la Sûreté de l'État. Mécréant mais lecteur assidu de la Bible, infatigable discoureur, sauveur de pigeons, magicien dont les potions soignent tout ce qui désespère la médecine : voilà quelques-unes des facettes de Monsieur Optimiste que révèlent les lettres, documents officiels et billets entassés pêle-mêle dans les cartons et qui m'ont permis de reconstituer le puzzle de sa vie. À travers ce récit, tantôt burlesque, tantôt poignant et nostalgique, inspiré de la vie de mon père, c'est l'histoire du XXe siècle qui se dessine en filigranes mais c'est surtout pour moi une façon de tendre la main à mes origines et de cerner ma propre identité. Comment deux immigrés de l'Est ont fabriqué un Belge «pur jus»...


Quelques mots sur l'auteur

Né à Bruxelles d’un père venu d’une petite ville près de Varsovie en Pologne et d’une mère née à Vilno lorsque la ville était russe (actuellement Vilnius), Alain Berenboom est devenu un écrivain belge de langue française !
Sa culture cosmopolite explique sans doute que son œuvre romanesque promène le lecteur tout au long de la planète, même si ses héros (pour être juste des anti-héros souvent ambitieux mais qui n’ont pas les moyens de leurs aspirations) ont bien des traits dominants de l’art belge : l’auto-dérision, une soif de panache et de folie mêlée à une modestie excessive et un amour de la vie et de la sensualité. 


Mon avis

J’ai lu ce livre pour un club de lecture. Il s’agit du Prix Rossel.

Histoire : Un homme veut connaître plus son père décédé, un immigré juif polonais. Il va alors découvrir à sa grande surprise plein de choses qu’il ne connaissait pas de lui.

Le livre, facile à lire, comporte de petits chapitres, quelques illustrations.  C’est intéressant car il aborde des sujets comme la relation père-fils, la famille, la 2ème guerre mondiale. Ce que j’ai préféré ce sont les lettres qui sont touchantes. D’ailleurs, j’aurai aimé que tout le roman apporte cette même émotion.

J’ai donc moyennement aimé ce livre.

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