Synopsis

Mélie, soixante-douze ans, vit seule à la campagne. Pour la première fois, sa petite-fille, Clara, vient passer les grandes vacances chez elle. La veille de son arrivée, Mélie apprend qu'elle a un problème de santé... Elle verra ça plus tard. La priorité, c'est sa Clarinette chérie ! Durant tout l'été (le dernier ?), Mélie décide de fabriquer des souvenirs à Clara. Des rigolos. Comme regarder pousser les bambous en écoutant La Traviata, chanter sous la pluie des chansons de Nougaro, goûter les mauvaises herbes qui poussent le long des chemins. Il y a aussi le vieux Marcel, qui va apprendre à Clara à faire de la mécanique... Et puis, comme la vie est vraiment dingue parfois, il y a Mélie qui va enfin rencontrer le grand amour... Cent cinquante ans à eux deux ? Mais quand on aime, on ne compte pas !

Quelques mots sur l’auteur

Barbara Constantine est scripte, céramiste et romancière. 

Elle vit en région parisienne, mais descend le plus souvent possible dans le Berry pour y planter des arbres (des cerisiers, des pruniers…), retaper des granges en ruine, écouter les rossignols délirer les nuits d’été, et surtout, passer un maximum de temps à regarder vivre ses chats, Alcide Pétochard (gentil chamallow) et Pétunia Trouduc (comme son nom l’indique). 

A Mélie, sans mélo est son deuxième roman après Allumer le chat, publié en 2007 aux éditions Calmann-Lévy. 

Mon avis

Je ne connaissais ni l'auteur ni le livre. J'ai découvert ce livre grâce à un baby challenge de Livraddict.

Mélie, une personne âgée, cache ses problèmes de santé et veut vivre cet été vivement avec sa petite fille Clara car il sera peut être le dernier pour elle. L’histoire tourne ainsi autour d’elle, de Clara (sa petite fille) et de Fanny (sa fille). Marcel, son ami, raconte des souvenirs du passé dans un dictaphone.

L’histoire est très simple. Je m’attendais à ce que ça soit triste mais ce n’est pas le cas. Je n’ai pas trop aimé ce livre car je me suis ennuyée, même si certains passages m’ont fait sourire, sont sympathiques.

J’ai lu ce livre après avoir lu « Ensemble, c’est tout » d’Anna Gavalda. Je peux maintenant dire sans hésitations que j’ai préféré de beaucoup Gavalda car elle sait plus nous faire attacher aux personnages et à nous faire sentir toutes sortes d’émotions. C’est « A Mélie, sans mélo » mais peut être qu’il aurait fallu justement du mélo pour une meilleure histoire.

Le livre comporte de très nombreux petits chapitres et c’est facile à lire.

" Et puis, qu'est-ce que ça veut dire, différents ? C'est de la foutaise, ton histoire de torchons et de serviettes...
Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences... " Camille dessine. Dessinais plutôt, maintenant elle fait des ménages, la nuit. Philibert, aristo pur jus, héberge Franck, cuisinier de son état, dont l'existence tourne autour des filles, de la moto et de Paulette, sa grand-mère. Paulette vit seule, tombe beaucoup et cache ses bleus, paniquée à l'idée de mourir loin de son jardin.
Ces quatre là n'auraient jamais dû se rencontrer. Trop perdus, trop seuls, trop cabossés... Et pourtant, le destin, ou bien la vie, le hasard, l'amour -appelez ça comme vous voulez -, va se charger de les bousculer un peu. Leur histoire, c'est la théorie des dominos, mais à l'envers. Au lieu de se faire tomber, ils s'aident à se relever.

Quelques mots sur l’auteur

Anna Gavalda est née le 9 décembre 1970 à Boulogne-Billancourt. Enfance bucolique avec ses trois frères et sœurs qui restent ses meilleurs amis. Des petits boulots. A toujours aimé écrire. Elle vit dans la banlieue sud de Paris. Elle écrit matin et soir avec l’envie de raconter des histoires à tout le monde. Elle élève ses deux enfants le reste du temps. En 2000 Grand Prix RTL-Lire pour Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part.

Mon avis

Jusqu’à présent, j’avais lu juste « Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part » de cet auteur que j’e n’avais pas aimé. Histoires trop banales, j’ai fini par abandonner sa lecture. Heureusement, Livraddict m’a poussée, grâce à son challenge, à lire un autre livre de Gavalda. Et cette fois, cela m’a bien plu.

Différents personnages, tous aux âmes brisées, se rencontrent : Philibert (un aristocrate intellectuel), Camille (dessinatrice amatrice et femme de ménage), Franck (cuisinier amateur de motos et très attaché à sa grand-mère Paulette) et Paulette (vivant seule, elle cache ses chutes par peur d’être obligée d’aller en maison de repos). C’est avec leurs différences que chacun va apporter du positif à l’autre. Ainsi on voit tous les personnages évolués. Ils cachent tous un profond mal être qu’ils vont révéler au fil de l’histoire.

On s’attache beaucoup aux personnages. On vit avec eux les moments de joie et de tristesse. Certains passages ont même un peu d’humour. L’écriture d’Anna Gavalda est fluide, facile à lire.

Donc j’ai vraiment bien aimé ce livre !


Ce livre participe au baby challenge "Littérature contemporaine" 2012 de Livraddict.

Synopsis

"L'Insoutenable légèreté de l'être" traite de plusieurs thèmes, et place, au centre de tout, des personnages purement fictifs incarnant de grandes idées. Parmi eux, Tomas se cherche sous son double masque de libertin et d'amoureux passionné, alors que Tereza, la plus morale du livre, brigue l'amour pur, et que Sabina incarne la légèreté.

Quelques mots sur l’auteur

Milan Kundera (né le 1er avril 1929 à Brno, ex-Tchécoslovaquie) est un écrivain de langue tchèque et française. Né en Tchécoslovaquie, il a obtenu la nationalité française le 1er juillet 1981.

Il a reçu le prix Médicis étranger en 1973 (pour son roman La vie est ailleurs), le Prix de Jérusalem en 1985, le Prix Aujourd'hui en 1993 (pour son essai Les Testaments trahis), le Prix Herder en 2000, le Grand prix de littérature de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre en 2001 et le Prix mondial de la Fondation Simone et Cino del Duca en 2009. Son nom a été fréquemment cité sur les listes du Prix Nobel de littérature.

Mon avis

Je ne connaissais pas du tout. J’ai découvert ce livre grâce au Challenge de Livraddict.

Dans ce livre, on suit la vie de Tomas et Tereza à Prague, en Tchéquie. L’auteur philosophe énormément autour de l’histoire. On aborde des sujets comme la politique, l’infidélité et la mort.

Même si je reconnais les talents littéraires et philosophiques de Kundera, je n’ai pas vraiment aimé ce livre pour plusieurs raisons. D’abord, je trouve le côté philosophique très lourd, même si des fois il m’a poussée à réfléchir sur la vie. Ensuite, les sujets abordés ne me plaisent pas. En plus, je ne me suis attachée à aucun personnage. Quasi tous sont infidèles, libertins. Quand on parle d’un couple, c’est sans l’once de sentimentalisme. On souligne juste la beauté et le plaisir physique.

Donc, ce livre ne me donne pas envie de découvrir d’autres livres de cet auteur.

Ce livre appartient au Challenge « Littérature contemporaine 2012 » de Livraddict. 

Oscar a dix ans et il vit à l'hôpital. Même si personne n'ose le lui dire, il sait qu'il va mourir. La dame rose, qui le visite et " qui croit au ciel ", lui propose, pour qu'il se sente moins seul, d'écrire à Dieu.

Quelques mots sur l’auteur

Eric-Emmanuel Schmitt est né le 28 mars 1960 à St Foy Les Lyon.

Etudes musicales au Conservatoire de Lyon.
Elève à l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm de 1980 à 1985.
Agrégé de philosophie en 1983.
Docteur de Troisième Cycle en 1986. Thèse sur Diderot et la Métaphysique (Diderot ou la philosophie de la séduction, Albin Michel, 1997).

Mon avis

Tous les jours Oscar, un enfant atteint de cancer hospitalisé, reçoit la visite d’une dame habillée tout en rose (« La dame rose ») à laquelle il s’est beaucoup attachée. En plus, chaque jour, il écrit une lettre à Dieu.

Ce livre m’a beaucoup plu. On passe des rires aux larmes. Pourtant, d’habitude je n’aime pas lire des histoires sur une personne cancéreuse car c’est trop triste. D’ailleurs, quand il m’arrive d’en lire, j’abandonne le livre. Mais avec « Oscar et la dame rose », j’ai été vraiment attachée à l’histoire.

On y trouve beaucoup d’humour. J’adore !

La relation entre Oscar et la dame rose est très belle. La dame le rassure, lui fait changer les idées, le fait rire, l’écoute, … En d’autres mots, elle l’accompagne avec douceur en fin de vie, ce que les parents n’arrivent pas à faire.

Dans les lettres destinées à Dieu, il écrit toutes ses pensées.

J’ai vu aussi le film que j’ai aussi bien aimé mais il m’a semblé plus triste que le livre vers la fin.


Ce livre participe au challenge "Littérature contemporaine" 2012 de Livraddict.

Sans le vouloir, j'avais commis le crime parfait : personne ne m'avait vu venir, à part la victime.
La preuve, c'est que je suis toujours en liberté. C'est dans le hall d'un aéroport que tout a commencé. Il savait que ce serait lui. La victime parfaite. Le coupable désigné d'avance. Il lui a suffi de parler. Et d'attendre que le piège se referme. C'est dans le hall d'un aéroport que tout s'est terminé. De toute façon, le hasard n'existe pas.

Quelques mots sur l’auteur

Fille d’un ambassadeur belge, elle a beaucoup voyagé pour ensuite retourner en Belgique, à Bruxelles à 17 ans. Elle suit dès lors des études gréco-latines. C’est en 1992 qu’elle publie son premier roman : « Hygiène de l’assassin ». Depuis elle publie un livre chaque année dont « Stupeur et tremblements » qui a reçu le Grand prix de l’Académie française en 1999.

Mon avis

J’ai adoré ! C’est un de mes livres préférés d’Amélie Nothomb.

L’histoire : Un homme se retrouve coincé à l’aéroport après l’annonce d’un retard de son avion. Il va alors converser avec une personne imposante, très embêtante. Cette dernière va même lui raconter sa vie et lui révéler un terrible secret.

C’est un livre plein d’humour jusqu’à la révélation très choquante de cet inconnu.

D’autre part, j’aime beaucoup le style d’écriture de l’auteur. Je trouve que Nothomb a un grand talent pour cela. Les phrases sont joliment bien construites et le vocabulaire assez riche sans pour autant rendre ardue la compréhension et sans alourdir le texte.


Ce livre participe au challenge "Littérature contemporaine" 2012 de Livraddict.